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L'Algérie
L'Algérie

 L’Algérie touristique c’est avant tout cette destination émergente de la rive sud de la méditerranée se trouvant le plus souvent à 1h de vol des principales capitales européennes, avec une superficie dépassant des 2millions de Km² et un littoral s’étendant sur plus de 1200Km.

Du nord au sud et de l’Est à l’Ouest, chaque recoin du pays est un musée de plusieurs milliers d’années d’histoire.

L’Algérie possède aussi par ailleurs un des produits un des produits touristiques des plus inégalables : le produit saharien avec toute sa splendeur.

Le grand sud, les oasis et la Saoura, le Touat et le Gourara ou encore le circuit des ksour et la vallée du Mzab.

L’Algérie est aussi fière de son produit balnéaire sur plus de 1200Km de côtes dont la majorité est encore à l’état vierge, ainsi que plus de 200 sources thermal réparties à travers le territoire national.

 

Alger, patrimoine bâti

Parler du patrimoine, c’est parler de la ville, de son identité et de sa mémoire. La ville qui s’est façonnée à travers le temps, a puisé ses références dans le passé, le présent et parfois dans le futur auquel nous aspirons.

 

* Mosquée Ali Bitchine : Fondée en 1622 par le Vénitien Piccinino. Elle est devenue église (Notre Dame des Victoires) durant l’époque coloniale ce qui certainement la sauva de la destruction. Son minaret fut réduit en 1851

* Djamâa Djedid (Mosquée de la pêcherie): 
Fondée en 1660, les janissaires turcs qui voulaient une mosquée de rite Hanafite firent construire la mosquée du style des minarets maghrébins. 
Djamâa Djedid possédait un Coran offert par le sultan d’Istanbul au Dey d’Alger.

* Mosquée Ketchaoua :
Existait en 1612 et fut reconstruite en 1794 selon le modèle de la mosquée Es-Sayida par le Pacha Hassan. Elle a été complètement remaniée pour devenir la Cathédrale d’Alger.

* Mosquée Safir: Se situe sur la haute Casbah. Fondée en 1634 et reconstruite en 1791 et 1827. Son mihrab est fait de faïences provenant de Delft (Hollande).

* Djamâa El Kébir :
C’est la plus ancienne mosquée de la Casbah. Elle fut construite sous le règne d’Ibn Techfine à l’époque de la dynastie Almoravide au 11 ème siècle. Elle est édifiée sur les ruines d’une ancienne basilique chrétienne et sur les ruines de l’antique ICOSIUM (époque romaine). Elle subit de nombreuses modifications au 16ème siècle et plus tard. La façade en bordure de la rue de la marine fut remaniée en 1837 sous la domination française, avec des colonnes de marbres provenant de la mosquée Es-Sayida (1622) détruite peu après 1830. L’intérieure de la grande mosquée est d’une grande simplicité et d’un dépouillement des plus ascétiques, en plus, au cours de ses nombreuses transformations, elle a perdu tout décors sculpté et les faïences de son minaret qui fut élevé en 1323. Elle ne possède pas de colonnes à chapiteau comme les autres mosquées d’Alger, mais 72 piliers quadrangulaires blanchis à la chaux qui soutiennent ses coupoles et ses 12 toits.

* Mosquée et sanctuaire de Sidi Abderrahmane Ethâalibi
Abritant le tombeau: Construite en 1696 sur l’emplacement de la Kouba où fut inhumé en 1471 le célèbre docteur Sidi Abderrahmane Ethâalibi. Dans ce cimetière se trouve inhumé: Sidi Ouali Dadda. Il est décédé en 1554. 

TOMBEAUX
* Sidi Mansour: dont la tombe initiale se trouvait à la porte de Bab Azzoun, jusqu’à 1846, date de son déplacement.
* Tombe de Khedeur Pacha: Mort en 1605
* Tombe de Ahmed Bey de Constantine.
* Tombeau de Sidi Abdellah. 
* Tombeaux des Muphtis, Boukandoura, Benzakou. 
* Tombes de Hassan Pacha, Mustapha Pacha, Dey Ahmed, Rosa fille de Hassan Pacha

DARS ET PALAIS 

* Dar Khedaoudj El Aâmia(fille du Dey Hassan) “Dar Bekri” :
Elle est située au N° 09 de la rue Mohamed Akli Malek. Cette maison édifiée au 15ème siècle était à l’origine Zaouïa (la Zaouïa de Sidi Ahmed Ben Abdellah El Djazair). Cette Zaouïa comprenait à l’origine une mosquée et un cimetière où furent enterrés les trois premiers muphtis d’Alger. Puis ensuite sur son emplacement fut édifié en 1570 le Palais de Yahia Rais. Acheté plus tard par Hassan (qui succéda au Dey Mohamed Ben Ottoman) pour sa fille Khedaoudj El Aâmia. Ce palais abrita par la suite un personnage tristement célèbre dans l’histoire d’Algérie BACCRI.
Après 1830, il sert de résidence à diverses personnalités avant d’être la première mairie Française d’Alger. Elle abrite actuellement le Musée des Arts et Traditions Populaires. 

* Dar Aziza
Existait depuis le 16ème siècle. Ce palais est dédié à la fille du Dey, femme du Bey de Constantine. Elle offre une seconde version d’Arts architectural algérien mais avec une ornementation plus riche. Les plâtres et les stucs plus fouillés, s’alignent en une véritable dentelle et les chapiteaux sont plus recherchés et plus décorés. Actuellement, elle est le siège de la revue “El Taqafa”.

* Dar El Hamra
Située entre la rue Bab El Oued et l’avenue du 1 novembre. Construite au 15ème siècle par Mami Arnaute. Elle a été occupée par le Dey Hussein avant son départ définitif d’Alger après la défaite de la Casbah. Elle est devenue le siège de la Fondation Casbah.

* Dar Mustapha Pacha:
Située rue des Frères Mechri. Elle était le siège de la Bibliothèque Nationale. C’est l’un des plus beaux palais d’Alger construit en 1799. Elle est ornée de
5 00.000 carreaux de faïences qui représentent un bel exemple de l’architecture maghrébine. Les carreaux de cette demeure aux tons blancs et bleus violets constituent une collection de bateaux dont aucun n’est semblable, tandis que les carreaux de tons jaunes et ocres sont ornés de motifs floraux.

* Dar Ahmed
Située au 10, rue Hadj Omar et qui fut la résidence du Dey au début du siècle. Actuellement, c’est le siège du Théâtre National Algérien (TNA). 

* Dar Essouf (ex Cour d’Assises) :
Hôtel de l’Intendance. Fut érigée par le Dey en 1798. En 1805, elle fut confisquée par le Dey Ahmed ainsi que d’autres biens appartenant à Mustapha Pacha et déclarée biens des Janissaires. Elle a servit jusqu’à 1830 de dépôts de laine.

* Dar Hassan Pacha
Edifiée en 1791. Après l’occupation Française, elle fut prise par l’état.

* Palais d’Eté :
fut la propriété de Khodjet Mustapha El Kheil (Ministre des Haras du dey).
Le petit palais existe toujours. Le grand palais a été construit à l’époque française avec une partie de matériaux issus des palais de l’intra –muros.
Bastion 23 : palais des Rais. Situé rue du 14 juin
Bastion 11 : il se situe dans la haute Casbah prés de la citadelle.
La citadelle : c’est le bâti qui a la plus emprise au sol de toute la Casbah. C’était un ancien fort. Sont situés : 
La forteresse de la Casbah : fut construite par Arroudj Dey Hussein en 1516. Il fut le dernier à l’habiter.
Place des martyrs : elle portait le nom “ place du gouvernement “ à l’époque française (tandis que la population autochtone l’appelait la place du cheval allusion faite à la statue équestre du Duc d ‘Orléans. Ce dernier trônait sur cet espace qui jadis à l’époque précoloniale abritait le quartier le plus riche d’EL DJAZAIR. Des destructions importantes emportèrent la cité de ses plus beaux palais, mosquées et demeures. C’est d’ailleurs par le miracle que la belle mosquée de la pêcherie échappa au massacre.
De tout cela, reste quelques vestiges témoins de cette richesse et beaucoup de souvenir (le souvenir du palais des DEY, la Djenina détruite et la très vieille mosquée Es- Sayida restant parmi les plus émouvantes).

LES REMPARTS 
Construits en 1540 par le Pacha Hassan, ils s’étendaient tout autour de la cité. Ils étaient renforcés de doubles et parfois même de triples ceintures. Ces fortifications renforcées de doubles et bastions et de tours présentaient la forme d’un triangle au sommet duquel avait été construit en 1516 la citadelle de la Casbah.

LES PORTES 
Bab el Djedid : date du XVI ème siècle. Elle fut détruite en 1866.
Bab Azzoun : Elle existe déjà en 1541 lors du siège de Charles Quint. Elle fut détruite en 1841.
Sur le front de mer se trouvait:
Bab El Bhar : au dessus de la mosquée de la pêcherie.
Bab El Djezira : Représentant un écusson ou étaient figurés sous une couronne surmontés un croissant, des drapeaux, des lions, des canons et des navires. Elle fut détruite en 1870.
Au Nord, s’ouvrait dans la partie basse : 
Bab El Oued
Et dans la partie haute:
Bab Sidi Ramadane : il donnait accès à la campagne d’El Kettar.

LES FONTAINES 
Fontaine Sidi Mohamed Chérif : Elle est attenante à la mosquée Sidi Mohamed Chérif.
Zoudj Aioun
Bir Djebbah 
Fontaine El Charâa : Djamâa Ali Bitchine
Fontaines de l’Amirauté:
*La première : Voisine de la grande voûte édifiée par Baba Ali en 1765. Les marins ne manqueraient pas de venir y boire avant chaque sortie en mer.
*La deuxième : se trouve, après être déplacée en 1935, au jardins des antiquités. Elle fut
Édifiée par Hussein Pacha en 1820.

 

 

 

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